Echange Gerstheim-Neubiberg
Ludwig II., der Märchenkönig...
Le 29/05/2011
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A voir samedi 4 juin à 20h40 sur Arte
Louis II de Bavière
Selon Verlaine, il fut "le seul vrai roi de ce siècle". Qui était Louis II, souverain fou pour les uns, génial pour les autres ?
Né en 1845 à Munich, Louis II n'a que 19 ans lors de son accession au trône. Dès le début, les affaires politiques l'ennuient ; le contact avec la cour et avec son peuple le panique. Il ne supporte pas la monarchie constitutionnelle, les ministres et le parlement car il a la nostalgie de l'absolutisme de Louis XIV. En visite à Paris pour l'Exposition universelle de 1867, il considère Napoléon III comme un parvenu. Mais il n'est guère ravi de devoir s'allier à la Prusse contre les Français lors de la guerre de 1870. Tandis que son royaume est progressivement intégré au nouvel empire allemand, le souverain s'isole de plus en plus. Seules l'intéressent la musique de Wagner, les légendes germaniques et l'architecture. Verlaine écrivit qu'il fut "le seul vrai roi de ce siècle". Louis II entreprendra en effet des chantiers pharaoniques au grand dam du gouvernement et de son entourage. Versailles est son modèle suprême. Il en fera reprendre des éléments dans le petit château de Linderhof puis, dans des proportions démesurées, au château de Herrenchiemsee, tandis que celui de Neuschwanstein concrétisera ses rêves moyenâgeux. C'est là que, le 12 juin 1886, le psychiatre Von Gudden vient lui signifier sa destitution pour paranoïa. Emmené au lac de Starnberg, il y meurt dès le lendemain dans des circonstances restées mystérieuses.
Selon Verlaine, il fut "le seul vrai roi de ce siècle". Qui était Louis II, souverain fou pour les uns, génial pour les autres ?
Né en 1845 à Munich, Louis II n'a que 19 ans lors de son accession au trône. Dès le début, les affaires politiques l'ennuient ; le contact avec la cour et avec son peuple le panique. Il ne supporte pas la monarchie constitutionnelle, les ministres et le parlement car il a la nostalgie de l'absolutisme de Louis XIV. En visite à Paris pour l'Exposition universelle de 1867, il considère Napoléon III comme un parvenu. Mais il n'est guère ravi de devoir s'allier à la Prusse contre les Français lors de la guerre de 1870. Tandis que son royaume est progressivement intégré au nouvel empire allemand, le souverain s'isole de plus en plus. Seules l'intéressent la musique de Wagner, les légendes germaniques et l'architecture. Verlaine écrivit qu'il fut "le seul vrai roi de ce siècle". Louis II entreprendra en effet des chantiers pharaoniques au grand dam du gouvernement et de son entourage. Versailles est son modèle suprême. Il en fera reprendre des éléments dans le petit château de Linderhof puis, dans des proportions démesurées, au château de Herrenchiemsee, tandis que celui de Neuschwanstein concrétisera ses rêves moyenâgeux. C'est là que, le 12 juin 1886, le psychiatre Von Gudden vient lui signifier sa destitution pour paranoïa. Emmené au lac de Starnberg, il y meurt dès le lendemain dans des circonstances restées mystérieuses.
Rediffusions : 07.06.2011 à 10:00 et 12.06.2011 à 15:30
http://www.arte.tv/fr/programmes/242,date=4/6/2011.html
Commentaires textes : Écrire
Winter auf den Halligen
Le 29/05/2011
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A voir samedi 4 juin à 19h55 sur Arte
Entre tempête et grande marée : Les Halligen
Un visage moins connu de l'Allemagne, en Mer du Nord...
Johann Petersen, dit Hanni, conduit par moins 17 degrés son wagonnet sur la voie étroite qui traverse la mer des Wadden. Il possède le seul magasin de l'île et a dû se réapprovisionner. Les 110 habitants de la hallig Langeneß sont obligés de stocker des vivres : les tempêtes et les grandes marées peuvent brutalement couper du monde cette motte de terre à quelques encablures du Schleswig-Holstein. Alors il n'y a plus ni ferry ni petit train. Seulement le coin du feu où la famille se réunit, et se raconte les histoires d'antan, par exemple celle de la grande marée qui a emporté terres et animaux, parfois des maisons entières.
Hanni et les autres habitants de Langeneß préparent depuis des jours le Biike, la fête nationale frisonne censée faire fuir l'hiver grâce à un grand feu allumé en bordure de mer. Autrefois, c'est avec ce feu et d'énormes marmites de chou au lard que les insulaires prenaient congé des baleiniers qui embarquaient à la fin d'un interminable hiver. Le Biike sonne la fin de la saison des grands froids. L'espoir renaît, ça sent le printemps, la vie revient sur la hallig. Comment vit-on ainsi, isolé, tributaire des humeurs de la nature ? Sans pouvoir faire les courses normalement, sans médecin, sans cinéma ou autre distraction ? Comment Hanni et sa famille passent-ils l'hiver ? Et le vieux Jens Hansen avec ses 88 ans, et Patrick Andresen, l'infirmier originaire du continent ?
http://www.arte.tv/fr/programmes/242,date=4/6/2011.html
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Das Wunder von Bern
Le 29/05/2011
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A voir jeudi 2 juin à 18h10 sur la chaîne allemande Das Erste
Das Wunder von Bern - Le Miracle de Berne
(Sönke Wortmann - Deutschland, 2003)
(Sönke Wortmann - Deutschland, 2003)
En 1954, contre toute attente, l’équipe allemande remporte le championnat du monde de football en battant la Hongrie trois à deux. Cette victoire est perçue comme le véritable acte de naissance de la République Fédérale d’Allemagne. Mais, plus qu’un film sur le rôle du sport dans la construction identitaire, le miracle de Berne est l’histoire mélodramatique d’un petit garçon passionné de foot dont le père revient après onze ans de captivité en Russie.
A Essen, la mère, Christa Lubanski, a ouvert un café et son mari peine à retrouver ses repères dans la vie quotidienne. Son fils aîné part rejoindre les communistes à Berlin-Est et le cadet, Mathias, a trouvé en Helmut Rahn, un père de substitution. Joueur sélectionné dans l’équipe nationale, ce dernier propose à Mathias de l’accompagner à Berne mais le père s’oppose à ce projet. La relation difficile entre le père et Mathias est au centre du film. Elle illustre les problèmes et les tensions entre une génération marquée par le nazisme et la génération née après-guerre honteuse de ce passé inadmissible. La finale de la coupe du monde à laquelle le père conduit Mathias est la métaphore de la réconciliation souhaitée de l’Allemagne avec son histoire.
Synopsis
Während der Bergarbeiter Richard in russischer Gefangenschaft war, hat seine Familie gelernt, ohne ihn klarzukommen. Bei seiner Rückkehr 1954 muss er feststellen, dass sein älterer Sohn ein Kommunist ist, seine Tochter mit Soldaten flirtet und sein 11-jähriger Sohn Matthias (Rufname Mattes), den er nie kennen gelernt hat, Idole (Helmut Rahn) hat, die Richard gar nicht kennt. Bei aller Mühe gelingt es ihm nicht, sich in seiner Familie wieder einzufügen.
Währenddessen gelingt es der deutschen Nationalmannschaft unter Sepp Herberger, bei der Weltmeisterschaft als Außenseiter bis ins Endspiel zu kommen. Helmut Rahn ist jedoch frustriert, weil er nicht aufgestellt wird.
Langsam bessert sich das Verhältnis zwischen Richard und Mattes, und auch Helmut Rahn ist im Finale gegen Ungarn aufgestellt, in dem er das entscheidende Tor zum 3:2 Endstand schießt, mit dem Deutschland die Sensation gelingt, die ein Land wieder zu einem Volk zusammenschweißt.
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Emil und die Detektive
Le 29/05/2011
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A voir jeudi 2 juin à 9h10 sur la chaîne allemande ZDF
Emil und die Detektive
Frei nach dem Roman von Erich Kästner - Adaptation libre du livre d'Erich Kaestner
Emil Tischbein, ein zwölfjähriger Junge aus einer ostdeutschen Kleinstadt, ist überglücklich, als sein allein erziehender Vater nach langer Arbeitslosigkeit endlich einen Job als Staubsaugervertreter findet. Jetzt fängt ein neues Leben an. Doch dann verursacht Herr Tischbein einen Autounfall, landet im Krankenhaus und verliert seinen Führerschein.
Während Herr Tischbein im Krankenhaus liegt, fährt Emil für zwei Wochen nach Berlin. Er darf bei der Schwester seines Lieblingslehrers Hummel, einer Pastorin, die mit ihrem Sohn Gustav in einer kleinen Villa wohnt, bleiben. Im Zug nach Berlin lernt Emil den zwielichtigen Max Grundeis kennen, der dem Jungen vorgaukelt, er könne ihm zu einem neuen Führerschein für seinen "Paps" verhelfen. Gerade dann, als Emil beginnt, Grundeis zu vertrauen, klaut der ihm 1.500 Mark, die Ersparnisse aus Emils "Zukunftskasse".
So kommt es, dass Emil den Schurken Grundeis auf äußerst abenteuerliche Weise quer durch Berlin verfolgt, während Gustav und die Pastorin auf Emil warten. Dabei trifft er auf Pony Hütchen, die draufgängerische Chefin einer bunt zusammen gewürfelten Berliner Kinderbande. Die Kinder beschließen spontan, Emil zu helfen. Damit er freie Hand hat, schmuggeln sie Bandenmitglied Gypsi als "falschen Emil" ins Pastorenhaus ein.
Während Gypsi nun also mit Witz und Chuzpe Emils Rolle spielt, das Pastorenhaus auf den Kopf stellt und dabei allmählich das Herz des Einzelgängers Gustav gewinnt, machen sich Emil, Pony und die Detektive auf die Jagd nach Grundeis und den 1.500 Mark. Dabei verstricken sie sich in eine Kette halsbrecherischer Abenteuer, in deren Verlauf Grundeis in ein Luxushotel verfolgt wird, die Kinder in einem noblen Restaurant Verwirrung stiften, ein Koffer voll gestohlener Juwelen auftaucht, zwei ausgekochte Führerscheinhändler ihr übles Spiel zu treiben versuchen, Gypsi als falscher Emil entlarvt wird und Grundeis schließlich Pony entführt.
Als das passiert, scheint alles verloren - doch dann haben die Kinder eine Idee, auf die kein Erwachsener der Welt kommen würde.
Résumé en français sur la photo du milieu...
http://www.zdf.de/ZDFde/inhalt/15/0,1872,7536687_idDispatch:10633226,00.html
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Album photo
Le 11/05/2011
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Bonne consultation, en espérant que cet album ne vous rappellera que de bons souvenirs !
R.F.
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